Notes à l’intention des autrices et des auteurs

Les autrices et les auteurs doivent soumettre leurs publications par courriel à l’intention de la coordination des Cahiers du CIÉRA (cahiersduciera@ciera.ulaval.ca).

Les publications soumises doivent être mises en page à interligne 1,5, justifié, police Times New Roman 12, bibliographie comprise.

Le plan du texte doit être le suivant :

– Titre de la publication

– Nom de l’autrice ou de l’auteur et coordonnées professionnelles complètes (postales, téléphoniques et électroniques)

– Texte de la publication (entre 6000 et 8000 mots)

– Notes de bas de page (maximum de 15)

– Références citées

– Sites internet consultés

– Notice biographique de l’autrice ou de l’auteur (environ 150 mots)

– Résumé (maximum 200 mots) et 5 mots-clés.

Les graphiques, les tableaux et les photos doivent être présentés sur des pages distinctes. Leur place doit être indiquée dans le texte (exemple : insérer tableau 1).

RÉFÉRENCES CITÉES

Dans le texte, les références sont signalées selon le modèle (Autrice/Auteur Date : numéro de page), par exemple (Larose, Bourque, Terrisse, Kurtness 2001 : 155). À la fin du texte, les références citées sont indiquées comme suit :

Pour un livre ou un rapport :

NOM DE L’AUTRICE/AUTEUR, Prénom(s), Année de publication, Titre, Lieu d’édition : Nom de l’éditeur.

Exemple :

CASTELLANO, Marlene Brant, Lynne DAVIS, et Louise LAHACHE (Dirs), 2001, Aboriginal Education : Fulfilling the Promise, Vancouver : University of British Colombia Press.

Pour un article dans une revue :

NOM DE L’AUTRICE/AUTEUR, Prénom(s), Année de publication, « Titre de l’article », Nom de la revue, Volume(Numéro) : première et dernière pages de l’article.

Exemple :

LAROSE, François, Jimmy BOURQUE, Bernard TERRISSE, et Jacques KURTNESS, 2001, « La résilience scolaire comme indice d’acculturation chez les autochtones : bilan de recherches en milieux innus », Revue des Sciences de l’Éducation, 27(1) : 151-180.

Pour un article dans un ouvrage collectif :

NOM DE L’AUTRICE/AUTEUR, Prénom(s), Année de publication, « Titre de l’article », in Prénom(s) Nom(s) du ou des directeurs de publication, Titre du livre, Lieu d’édition : Nom de l’éditeur, pp. première et dernière pages du chapitre.

Exemple :

HAMPTON, Eber, 2001, « First Nations-Controlled University Education in Canada », in Marlene B. Castellano, L. Davis, et L. Lahache (Dirs), Aboriginal Education : Fulfilling the Promise, Vancouver : University of British Columbia Press, pp. 208-221.

PROCESSUS D’ÉDITION ET DE DIFFUSION DES CAHIERS DU CIÉRA

Comité d’édition

Le comité d’édition des Cahiers du CIERA est constitué d’un à trois chercheures ou chercheurs affilié.e.s au CIÉRA ? plus précisément, des étudiantes et étudiants qui se formeront au travail d’édition ? ou bien de chercheures ou chercheurs, d’artistes ou de représentantes et représentants autochtones travaillant en milieu autochtone. Le montant d’heures totales rémunérées par le CIÉRA pour effectuer ce travail est de 100 heures divisées par le nombre d’éditrices et d’éditeurs.

Le comité d’édition peut soumettre une proposition de thématique au comité de rédaction et coéditer le numéro concerné, sous réserve de l’approbation du comité de rédaction. Toute personne souhaitant coéditer un numéro des Cahiers, en particulier lorsqu’elles sont membres du comité de rédaction, peut également se proposer et se voir attribuer la responsabilité d’un numéro par le comité de rédaction.

Pour chacun des numéros, le comité d’édition doit être constitué entre un an et demi et deux ans avant sa parution (par exemple, un comité doit être constitué en avril 2019 pour une parution en octobre 2020). Ce délai comprend, en amont, la soumission d’une proposition de thématique au comité de rédaction et en aval la parution du numéro. Le Comité d’édition se charge d’envoyer un appel de textes notamment dans les réseaux du CIÉRA, selon les délais expliqués dans le Guide d’édition des Cahiers du CIÉRA.

PROCESSUS D’ÉVALUATION DES ARTICLES SCIENTIFIQUES REVUS PAR LES PAIRS 

Suivant l’appel de textes, les autrices et auteurs sont invité.e.s par le comité d’édition à soumettre un manuscrit scientifique selon les normes d’édition des Cahiers et dans les délais prévus (voir le Guide d’édition des Cahiers du CIÉRA)[1].

À la réception des manuscrits, les membres du comité d’édition en font une première sélection sur la base de leur pertinence thématique. En étroite collaboration avec le comité de rédaction, le comité d’édition évalue la forme et le contenu du texte et ils entérinent les corrections préliminaires pouvant être demandées. S’il y a lieu, les demandes de corrections sont ensuite soumises à l’autrice ou à l’auteur, qui apporte les modifications nécessaires et soumet son texte à nouveau au comité d’édition.

Une fois la qualité d’un manuscrit d’article scientifique jugée appropriée, celui-ci sera envoyé par la coordination des Cahiers en évaluation externe à deux évaluatrices ou évaluateurs anonymes, sélectionné.e.s par le comité d’édition et la coordination du numéro, selon leur expertise du sujet abordé.

Les évaluatrices et évaluateurs externes devront s’assurer de la qualité scientifique du manuscrit et de son contenu. Elles et ils devront ensuite soumettre à la coordination des Cahiers un rapport d’évaluation du manuscrit révisé pour en justifier la pertinence auprès du comité d’édition, selon le thème du numéro. Par ailleurs, les évaluatrices et évaluateurs externes devront suggérer une acceptation avec ou sans modification ou un refus sans possibilité de publier en l’état. En cas de contradiction entre deux évaluatrices et évaluateurs, le manuscrit sera soumis à une troisième évaluation.

Le comité d’édition fera parvenir les rapports d’évaluation aux autrices et auteurs. Après les modifications apportées, le comité d’édition enverra le manuscrit en révision linguistique et complètera sa mise en page selon les normes des Cahiers. La lecture finale sera réalisée par la direction.

PROCESSUS D’ÉVALUATION INTERNE DES AUTRES PUBLICATIONS 

À la réception des manuscrits[2], les membres du comité d’édition en font une première sélection sur la base de leur pertinence thématique. Les manuscrits sont ensuite révisés à l’interne par le comité d’édition, le comité de rédaction, la coordination et la direction. Le comité d’édition entérine les corrections préliminaires pouvant être demandées. S’il y a lieu, les demandes de corrections sont ensuite soumises à l’autrice ou à l’auteur, qui apporte les modifications nécessaires et soumet son texte à nouveau au comité d’édition. Celui-ci vérifie l’incorporation des demandes de modifications et les justifications apportées par les autrices et auteurs.

Une fois la qualité d’un manuscrit jugée appropriée par le comité d’édition, la coordination et la direction, il sera envoyé par la coordination en révision linguistique. Le comité d’édition complètera sa mise en page et la lecture finale sera réalisée par la direction selon les normes des Cahiers.

POLITIQUE SUR LES ETHNONYMES

Les autrices et auteurs sont enjoints à indiquer les normes auxquelles elles et ils décident de se soumettre quant à leur recourt aux ethnonymes, dans le cadre de leur article ou autre type de publication. Il est attendu qu’au moins une note de bas de page explique les logiques d’accord (en genre et en nombre ou non, selon les règles de l’office de la langue française ou selon les règles de la langue employée) et qu’elles et ils s’y soumettent en cohérence et uniformément tout au long de leur contribution.

POLITIQUE D’ÉCRITURE INCLUSIVE 

Ces règles sont présentées ci-dessous à titre de suggestion à l’intention des autrices et des auteurs qui souhaitent y recourir. Cette politique vise à permettre aux autrices et auteurs de s’exprimer dans une écriture plus inclusive afin de pouvoir rendre textuellement visibles toutes les identités de genres.

Les autrices et auteurs sont enjoints à indiquer les normes auxquelles elles et ils décident de se soumettre quant à leur recours aux règles d’écriture inclusives, dans le cadre de leur article ou autre type de publication. Il est attendu qu’au moins une note de bas de page explique les logiques d’inclusion dans l’écriture et que leur texte s’y soumette en cohérence et uniformément tout au long de la contribution.

Voici des exemples illustrant cette pratique, spécifiquement en matière de féminisation :

* Noms de fonction, de métier, de titres ou de grade : utiliser des termes neutres

E.g. « les étudiantes et les étudiants en droit » deviennent « les futurs juristes »)

* L’ordre féminin – masculin ou l’inverse est écrit l’un à la suite de l’autre ;

a. On écrit les deux genres en utilisant le nom et le déterminant.
E.g. Le chercheur, la chercheuse. Une étudiante et un étudiant. La participante ou le participant.

b. L’utilisation du féminin et du masculin en utilisant des tirets pour les entrecouper;
E.g. Les auditeurs-trices. Les étudiant-e-s. Les chirurgien-ne-s.

* L’adjectif ou le participe passé après le nom s’énonce au masculin seulement en s’accordant au singulier ou au pluriel.
E.g. Les chercheures et les chercheurs ont été avisés.
E.g. La chercheure et les chercheurs ont proposé.

* L’adjectif ou le participe passé après le nom s’énonce au féminin et au masculin en utilisant des points pour les entrecouper.
E.g. Les chercheures et les chercheurs ont été avisé.e.s


[1] Le guide d’édition sera remis à chaque comité d’édition une fois la proposition de numéro acceptée par le comité de rédaction.[2] Courts articles, poésie, récits, œuvres d’art, entrevues et témoignages, ou toute autre proposition rattachée au thème exploré